Juin, solstice des couleurs au jardin ?

Heureusement, la distanciation ne s'applique pas aux rosiers et on peut profiter de la chaude étreinte qui lie Cumbaya et Emera.

Nous cherchons de plus en plus à jouer la carte des associations pour les rosiers. Ici Laguna s'est trouvé dernièrement un petit compagnon, un dénommé Jean Stephenne, sur fond de Cornélia.

Cette année les pavots se déchaînent, en simple, en double, en coloris variés et viennent pimenter les massifs.

Installée il y a à peine un an, la clématite Princess Diana manifeste grâce et vigueur.

Face au Clos rouge et blanc, les lessiveuses attendent leurs nénuphars.

La confrontation rosiers-graminées s'est engagée dans le Clos avec les têtes de bouleaux pour spectateurs.

La clématite Arabella a déjà commencé sa remontée et vient apporter sa touche de couleur dans cette partie ombrée.

Les clématites sont comme des enluminures dans les massifs où dominent les feuillages.

Les hydrangeas boostés par le printemps estival entrent dans la ronde des floraisons et les pluies récentes sont arrivées à point pour les soutenir.

Après deux ans de confinement dans un pot, notre canna en pleine terre goûte désormais à la liberté et s'ébat joyeusement.

Nous aimons bien intégrer les hydrangeas Annabelle au milieu des massifs ce qui favorise leur tenue parfois vacillante.

Dans le Talus peu de fleurs mais un jeu permanent de textures, de feuillages et de lumière.

Petit à petit les ajugas prennent possession de la coulée en contraste avec les cercles de lentilles d'eau.