ete

Publié le 3 Juillet 2016

Vaille que vaille entre grisaille et éclaircies, le jardin bon an mal an s'estivalise avec une vigoureuse dominante verte qu'il faut tenter d'apprisoiser.

Que d'eau mais oh !!!

Il fait un temps d'hydrangeas qui ont su tirer leur épingle du jeu et qui ont pris la grosse tête.

Que d'eau mais oh !!!

Dans ce coin de sous-bois c'est même une renaissance pour certains car la canicule de l'été dernier les avait totalement desséchés.

Que d'eau mais oh !!!

Autres gagnantes du phénomène, ce sont les clématites qui cette année culminent et s'épanouissent de bonheur.

Que d'eau mais oh !!!

Même les arrières scènes en ombre séche ont encore une vitalité printanière.

Que d'eau mais oh !!!

Les journées pluvieuses nous ont laissés le temps de feuilleter le livre "Guide de la couleur au jardin" qui vient de paraître chez Ulmer, et on a pu constater que dans cette débauche de vert, le rouge en était bien la couleur complémentaire.

Que d'eau mais oh !!!

Bobbie James a eu du retard à l'allumage mais aujourd'hui il tourne à plein régime.

Que d'eau mais oh !!!

Un temps qui donne des ailes à la clématite Jackmanii.

Que d'eau mais oh !!!

Dans le clos entre graminées et rosiers, le combat est désormais à armes égales. 

Que d'eau mais oh !!!

Contre toute attente le berbéris Rose Glow a parfaitement résisté à l'ambiance aquatique du mois de juin.

Petit message personnel à Judith, il s'agissait bien de Rose Glow qui s'éclaicit avec ses nouvelles pousses.

Que d'eau mais oh !!!

Particulièrement explosif cette année le rosier Pomponella au coté de la ronce tibétaine qui ne craint toujours pas les morsures du soleil.

Que d'eau mais oh !!!

Une saison où la taille des érables en topiaire est un véritable défi sportif avec des pousses de plus de 50 cm en un mois. Dans ce coin de jardin, l'eau affleurait encore il y a une semaine et depuis un mois nous ne pouvions intervenir.

Que d'eau mais oh !!!

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Rédigé par Duo Jardin

Publié dans #Eté

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Publié le 5 Septembre 2015

Même si chez nous les outils n'ont pas souvent l'occasion de rouiller, le jardin a cependant vécu sa petite trêve estivale mais voici venu le temps de la rentrée jardinière. La séquence pluvieuse de fin août a reboosté les végétaux et le moral des jardiniers. Le tapis vert s'est de nouveau déroulé sous nos pieds. Les feuilles qui ne cessaient de tomber se sont remises à pousser et les silhouettes se sont redressées. Le cognassier et les pyracanthas croulent sous les fruits. L'acer palmatum quant à lui a bravement résisté au soleil.

Entrée est

Entrée est

L'ambiance est plutôt joyeuse et indisciplinée dans la lande face à l'hydrangéa Limelight et à l'indigotier en fin de floraison dont nous avons pu apprécier la résistance à la sécheresse.

Revue de rentrée

Après une période critique où à plusieurs reprises les feuillages se sont crispés, les hydrangéas Pink Annabelle et Incrediball apprécient désormais la douceur de la rosée matinale.

Revue de rentrée

Flouté par un nuage de sauges, l'hydrangéa Great Star "Le Vasterival" dresse son altière blancheur.

Revue de rentrée

Le rosier Parfum d'Evita s'est bien développé cette année. Avec lui c'est le 1er mai tous les jours tant son parfum de muguet est impressionnant tout autant que ses remontées permanentes. En regardant la photo on s'aperçoit aussi que les séances de taille en transparence vont reprendre.

Revue de rentrée

Les pintades ont enfin quelque chose à se mettre sous la dent. Qui a dit que trop de vert tue le vert ? En tout cas nous on s'en plaint pas !

Revue de rentrée

Pour son deuxième été le jardin bleu a été servi. Les conifères en pot ont dû avoir chaud au pied et l'ipomée presque desséchée égrène aujourd'hui ses feuilles en coeur et ses fleurs azurées.

Revue de rentrée

Les topiaires ont profité des vacances pour s'échapper de leurs formes, un rendez-vous chez le coiffeur est prévu.

Revue de rentrée

Avec la rentrée il nous vient des envies d'érables en pot, c'est parti avec Asahi-zuru, d'autres arrivent ...

Revue de rentrée

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 23 Août 2015

C'est avec du retard que nous entrons dans le jeu de Marie-Claude du blog Un ptit coin de nature qui nous invitait à ouvrir la porte pour contempler notre paysage immédiat. Chose faite doublement car il y a deux entrées : coté sud, c'est un cheminement fleuri bordé d'une haie qui s'étire jusqu'au perron. 

Quand j'ouvre la porte

Coté ouest, c'est l'entrée par la véranda où le deck fait office d'escalier et fait face au colombier.

Quand j'ouvre la porte

C'est le lieu privilégié entre dedans et dehors pour les pauses café.

Quand j'ouvre la porte

On ne peut s'empêcher de poursuivre l'exercice pour aller à la rencontre de la lande qui se remet de la sécheresse. Les miscanthus n'ont pas souffert mais les pennisetums ont dû recevoir une coupe en brosse pour la séance photo. Quant aux sauges Amistad, deux hivers cléments leur ont donné des ailes ou du moins des échasses car elles culminent à plus de deux mètres.

Quand j'ouvre la porte

Un petit clin d'oeil aux rosiers Bukavu qui depuis quatre mois et malgré les conditions extrêmes remontent, remontent ...

Quand j'ouvre la porte

et font concurrence au rosier Buff Beauty que chatouillent les miscanthus.

Quand j'ouvre la porte

Enfin un plaisir à déguster après deux ans d'attente, c'est la floraison de l'Angelica gigas

Quand j'ouvre la porte

et une découverte qui nous ferait aimer les dahlias, c'est Noir Désire planté au printemps qui sans arrosage culmine à plus d'un mètre cinquante en une splendide brassée, capable de rivaliser avec les rosiers arbustifs. Voilà de quoi penser à de nouvelles associations pour le futur.

Quand j'ouvre la porte

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 24 Juillet 2015

Avant de s'évader vers d'autres horizons qui d'ailleurs nous méneront vers d'autres jardins puisque nous allons retrouver des amis jardiniers blogueurs, nous avons passé quelques jours en tête à tête avec le nôtre (pas le jardinier, le jardin).

Le jardin bleu après une année d'existence dégage malgré la sécheresse une atmosphère apaisante presque rafraîchissante. C'est fou comme l'on se met à aimer les couleurs froides en ce moment !

Dilettante au jardin

Les vacances c'est prendre le temps de s'initier à des techniques comme la mosaïque photos. C'est sûr maintenant des mosaïques vous allez en voir de temps en temps.

Le jardin bleu

Le jardin bleu

Les vacances c'est se réveiller un matin en se disant que le mobilier de jardin est bien triste dans sa livrée gris foncé et qu'un petit coup de pastel lui redonnerait le peps du vintage.

Dilettante au jardin

Et aucun n'y a échappé.

Dilettante au jardin

Comme tout droit sorti de l'univers de "2001, l'Odyssé de l'espace", un monolithe s'est posé dans le massif est. Quand les cieux seront plus cléments, nous y ferons grimper une petite persistante.

Peut-être M. Duojardin pense t'il qu'il va être temps de partir s'il ne veut pas voir le jardin customisé sous l'imagination débordante de Mme Duojardin.

Dilettante au jardin

Pendant ce temps beaucoup de rosiers se sont mis à remonter

Clos rouge et blanc

Clos rouge et blanc

malgré l'absence de pluie depuis plus d'un mois.

Rosiers Clair Matin et Phyllis Bide

Rosiers Clair Matin et Phyllis Bide

Et l'on part l'esprit léger à l'image des gauras et des graminées pour quelques jours laissant au liseron le temps de faire quelques circonvolutions pendant notre pérégrination.

Soyez sage notre petit monde, on revient bientôt.

La lande

La lande

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 13 Juillet 2015

C'est avec quelques semaines d'avance que le jardin vit le temps des moissons. Les jardiniers récoltent en brassées les hampes séchées et défleuries des vivaces et des rosiers.

Dans la folle course d'Appolon

Des pans entiers de massifs se transforment en chaumes tandis que la colonne de mercure ne cesse de grimper dans une atmosphère asséchante. Heureusement des arbustes comme les kolkwitzias, les spirées, les bruyères ont la sobriété des chameaux tout comme les roses trémières qui se jouent des rayons brûlants.

Dans la folle course d'Appolon

Comme transportée par les alizés, le sud s'installe dans des coins du jardin. Les agapanthes ainsi que le phormium qui fleurit pour la première fois apportent leur saveur exotique.

Dans la folle course d'Appolon

Dans la gravière ombrée, les plantes ne semblent pas encore souffrir de la sécheresse mais pour combien de temps encore ?

Dans la folle course d'Appolon

Pour l'instant rien ne vient troubler les ramures persistantes de l'eucalyptus, des conifères, des ilex et des osmanthus et pas de coup de soleil pour le cotinus Grace, alors que le chemin herbu se fait paillasson.

Dans la folle course d'Appolon

Sous la protection de l'arche de l'éternité, les rosiers Rush et Fairy poursuivent imperturbablement leurs floraisons sans eau et sous la canicule.

Dans la folle course d'Appolon

Dans la Lande, gauras et graminées batifolent en liberté éclaboussées de la lumière de l'été.

Dans la folle course d'Appolon

Mieux vaut avoir les pieds dans l'eau doivent se dire les consoudes et les joncs.

Dans la folle course d'Appolon

La chaleur exceptionnelle de juillet a donné des ailes à la clématire Golden Tiara qui s'en est allée conter fleurette à l'hydrangea Endless Summer.

Dans la folle course d'Appolon

Une rencontre tout en légèreté entre les fleurs virevoltantes des gauras et le graphisme coloré des aulx sphaerocephalum.

Dans la folle course d'Appolon

Il arrive aussi que dans la Lande les petits aulx sphaerocephalum se dressent d'effroi en voyant surgir les spectres errants de quelques aulx Cristophii.

Dans la folle course d'Appolon

Durant la sieste, il arrive aussi que l'hémérocalle se laisse bercer dans le duvet du phlomis.

Dans la folle course d'Appolon

Un coussin de corymbes d'achilée au pied d'une touffe de pennisetum, elle est là la poésie d'une prairie d'été.

Dans la folle course d'Appolon

Telle une star, l'aralia variegata déploie ses éventails au risque de les brûler, heureusement que nous l'avions précautionneusement installé à mi-ombre.

Dans la folle course d'Appolon

Par contre pas de crainte de brûlure pour le Croscomia Lucifer !

Dans la folle course d'Appolon

Tandis que la Sanguisorba tenuifolia Alba semble tirer la langue,

Dans la folle course d'Appolon

la Véronique Fascination la darde vers le ciel.

Quant au jardinier, c'est un rêve d'eau qu'il fait chaque nuit.

Dans la folle course d'Appolon

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 27 Juin 2015

S'il y a dans le jardin des rosiers isolés dans les massifs, il y a aussi un lieu composé de trois clos ceinturés d'érables en arcure dans lesquels s'ébattent joyeusement des dizaines de rosiers. L'idée dans ces espaces était de mettre en scène les roses en les intégrant dans le paysage.

Dans le premier clos, une strate basse composée de gauras, de potentilles, de rosiers paysages comme Eskimo, est dominée par quelques seigneurs comme Laguna

Les rosiers entrent en lice

et Jasmina sans oublier Phyllis Bide, Kir Royal qui n'ont point daigner rentrer dans le cadre. Ce qui nous importait dans ce clos c'était de créer un effet de densité fleurie qui se trouve être à son apogée mi juin.

Les rosiers entrent en lice

Dans le deuxième clos l'espace s'élargit et les rosiers s'associent aux graminées.

Les rosiers entrent en lice

Les miscanthus, les calamagrostis

Les rosiers entrent en lice

et les pennisetums voilent de leurs feuilles légères et élancées les bouquets de roses.

Les rosiers entrent en lice
Les rosiers entrent en lice
Les rosiers entrent en lice
Les rosiers entrent en lice
Les rosiers entrent en lice

L'idée de cette association et de rompre l'aspect statique du rosier en lui insufflant le mouvement des graminées.

Les rosiers entrent en lice

Dans le troisième clos, là où le rouge et le blanc se rencontrent, la verticalité blanche des bouleaux Jacquemontii rythme le paysage.

Les rosiers entrent en lice

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Publié le 7 Septembre 2014

Tous les matins c'est le rosier Snowdrift qui accueille le facteur et dans cette période de remontée, l'accueil est plutôt généreux et l'exercice de mise en boîte aux lettres devient périlleux.

Propos d'une fin d'été

Snowdrift qui porte bien son nom (congère en anglais) est effectivement un rosier à la remontée spectaculaire quelque soit les conditions de l'été. C'est un bloc de pétales.

Propos d'une fin d'été

Au pied du tilleul, la floraison des cyclamens arrive comme une première carte de visite de l'automne.

Propos d'une fin d'été

Un rosier tout en douceur dans cette fin d'été, Parfum d'Evita. C'est un grimpant plutôt timide qui se demande s'il doit rester arbustif ou pas mais qui toujours nous enchante de ses arabesques parfumées.

Propos d'une fin d'été

Dans le clos fleuri le rosier Laguna prend de plus en plus ses aises et nous apprécions de plus en plus ses qualités dont la couleur et la tenue de ses roses ainsi que sa résistance aux maladies. Dans ce clos, gauras et potentilles font belle compagnie à la gente épineuse.

Propos d'une fin d'été

Une belle découverte pour nous que le miscanthus Yaku jima rapporté des pépinières Champ Fleury (ex Daoust). C'est un miscanthus précoce, très gracile, au développement modéré et aux irrésistibles épillets bronze.

Propos d'une fin d'été

Il éclaire tous ceux qui s'en approchent et apprécie la compagnie des sauges Amistad et des verveines de Buenos Aires.

Propos d'une fin d'été

Anémone et muflier, il est venu le temps où la vague florale de l'été rencontre celle de l'automne.

Propos d'une fin d'été

Souvenir d'été avec ces petites potées de sedums qui nous rapelle qu'il y a un mois nous étions dans le jardin de Fred du jardin du Mayet et avions craqué sur ses petites mises en scène de sedums attablés.

Propos d'une fin d'été

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Publié le 31 Août 2014

Tout d'abord un grand merci pour vos gentils messages et conseils après notre mésaventure informatique. Hélàs le disque dur étant endommagé, nous n'avons rien pu récupérer et c'est reparti pour de nouvelles aventures.

L'été qui a pu sembler pourri à certains égards, s'est avéré particulièrement bénéfique au jardin et les végétaux s'en sont donnés à coeur joie. Les hydrangeas paniculata n'ont jamais autant pris la grosse tête.

Perspectives de rentrée

Il a fallu dompter la grande vague verte qui n'avait de cesse de submerger le paysage. Et comme le constate Hélène de Rouge Cabane, "Trop de vert tue le vert". 

Perspectives de rentrée

Alors on a fait chauffer la scie japonaise et les cisailles pour refaire les formes et reconstruire les rythmes.

Perspectives de rentrée

Redonner à l'oeil la possibilité de se frayer un chemin dans le dédale feuillu

Perspectives de rentrée

et retrouver de la profondeur dans le paysage.

Perspectives de rentrée

Tandis que certains horizons sont azurés par les sauges uliginosa, guaranitica et amistad,

Perspectives de rentrée

d'autres sont éclairés par les bouleaux Jacquemontii et des rosiers.

Perspectives de rentrée

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Publié le 22 Juillet 2014

Les graminées sont devenues tendances et indispensables au jardin au coeur de l'été à la fois pour la folie de leur exubérance et la sagesse de leur graphisme. Utilisées en masse et en mixant les variétés, elles vaporisent les massifs.

Les belles rencontres de l'été

Tailles en transparence et topiaires font jouer dans la lumière les différentes tonalités de vert.

Les belles rencontres de l'été

Les associations de bleu en mi-ombre rafraîchissent l'ambiance du jardin dans la chaleur de l'été.

Les belles rencontres de l'été

Distinguée et apaisante l'association knautia macedonica Thunder and Lightning, festuca glauca, caryopteris White Surprise et juniperus Blue Carpet.

Les belles rencontres de l'été

Rencontre étagée en rose entre le crinum et le pélargonium Tricolor.

Les belles rencontres de l'été

Instant de flirt entre l'hydrangea pink Annabelle et la salvia uliginosa.

Les belles rencontres de l'été

Forte attirance entre le limonium tataricum venu des jardins de Castillon et le sedum Purple Emperor.

Les belles rencontres de l'été

Coup de foudre entre le cercis Forest Pansy et l'acer Seiryu.

Les belles rencontres de l'été

Romantique rencontre entre le rosier Sourire d'Orchidée et la sauge d'Afghanistan.

Les belles rencontres de l'été

Trêve épineuse entre le rosier Augusta Luise et la ronce tibétaine dorée de Fred du jardin du Mayet.

Les belles rencontres de l'été

Enlacement enfiévré entre le rosier Mermaid et le houblon doré

Les belles rencontres de l'été

et caresse langoureuse entre la stipa tenuifolia et l'astrantia Major Rosea.

Les belles rencontres de l'été

Instant butineur en couleur !

Les belles rencontres de l'été

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Publié le 6 Juillet 2014

Il a plu cette nuit sur le rosier Mon Jardin, Ma Maison mais dans la matinée le soleil était de retour.

Entre gouttes et rayons

Et jouait en contre-jour avec les hémérocalles et le feuillage du cercis Forest Pansy.

Entre gouttes et rayons

Cela fait maintenant cinq ans que la sanguisorba du jardin Plume fait jouer ses épis dans le vent

Entre gouttes et rayons

ainsi que la véronicastrum virgicum Fascination qui se dresse à la rencontre de la clématite Etoile de Violette et des verbena bonariensis.

Entre gouttes et rayons

Dans la lande quelques alliums sphaerocephalon jouent avec les graminées.

Entre gouttes et rayons

Contents les hydrangeas d'avoir leurs douches quasi hebdomadaires.

Entre gouttes et rayons

C'est vrai qu'il est vert le jardin cette année !

Entre gouttes et rayons

Un petit climat à l'anglaise où les sous-bois ne souffrent pas et où la salvia involucrata et l'hydrangea Sargentiana coulent des jours heureux.

Entre gouttes et rayons

Mais quand le soleil revient, les jeunes pousses s'irradient dans le soleil.

Entre gouttes et rayons

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