printemps

Publié le 18 Mai 2019

La glycine apparaît tel un souvenir d'enfance et se répand vaporeuse dans le paysage. Sa floraison fait partie de ces moments magiques que l'on attend à chaque printemps.

A nos petits bonheurs

C'est là, sur la terrasse, notre petit coin de déjeuner préféré et que l'on agrémente de quelques touches déco.

A nos petits bonheurs

Face à la terrasse, un de nos plus vieux massifs où jouent formes et couleurs. Un massif qui représente bien la vision que nous avons du jardin.

A nos petits bonheurs

Les premiers oeillets de poètes animent les bordures. On aime leur simplicité, l'éclat et la durée de leur floraison.

A nos petits bonheurs

Au dessus du rosier chinensis mutabilis s'élève le frémontodendron california glory. Pas totalement volontaire la forme tige mais liée à quelques hivers rigoureux car c'est un frileux les premières années.

A nos petits bonheurs

Les kolkwitzia maradco viennent ajouter leur sphère lumineuse au petit monde des persistants.

A nos petits bonheurs

Cette année les rosiers Chinensis Mutabilis ont profité de la clémence de l'hiver. On aime sa légèreté et ses nuances.

A nos petits bonheurs

Le kolkwitzia amabilis Pink Cloud a trouvé l'accord avec une brassée d'ancolies. On aime ces rencontres spontanées.

A nos petits bonheurs

Quoi de mieux pour éclairer une allée ombragée que quelques viburnums, au premier plan Popcorn et en fond Shasta.

A nos petits bonheurs

Au printemps, le vert peut aussi révéler toute la richesse de ses tonalités. Les pyracanthas cette année ont joué le jeu en acceptant de se mettre en fleurs malgré la taille.

A nos petits bonheurs

Dans le clos rouge et blanc, le premier rosier à fleurir est Thérèse Bugnet, un sympathique cadeau d'une amie jardinière. On aime son excellente tenue au vent malgré la hauteur de ses tiges.

A nos petits bonheurs

Et pour ceux qui ont suivi l'odyssée l'an dernier de la haie en dessous de la ligne à moyenne tension. C'était une haie haute de six mètres et de plus de deux mètres de large qui s'était retrouvée tronçonnée à un mètre cinquante. Un désastre qui nous a inspirés pour imaginer une haie de trognes. Si ce n'est pas de la résilience jardinière, ça y ressemble !

A nos petits bonheurs

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Publié le 29 Avril 2019

Désormais chaque jour apporte sa nouveauté au jardin, des plantes surgissent, les massifs se remplissent et les ramures se recouvrent.

Ca fleure bon

Nous voilà retombant sous le charme désuet des ancolies qui se ressèment inlassablement, s'inventant de nouvelles livrées.

Ca fleure bon

La clématite Miss Bateman en profite pour faire de l'oeil à la première rose du rosier Sombreuil.

Ca fleure bon

Une heucherella tout à fait recommandable, c'est Brass Lanter, vigoureuse, résistante au soleil et facile à multiplier par éclat. On aime particulièrement sa couleur de cuir fauve lustré.

Ca fleure bon

Rien de tel qu'un deutzia au milieu d'un massif pour envoyer des gerbes d'étoiles blanches.

Ca fleure bon

Facile à vivre, la spirée vanhouttei Gold Fountain, s'iradie de peu et sait illuminer l'arrière d'un massif.

Ca fleure bon

A priori rien ne le destinait à notre terre argileuse et calcaire mais le raphiobotrya Coppertone qui est un hybride entre l'ériobotrya et le raphiolepsis mène tranquillement sa vie depuis quatre ans et nous fait profiter de sa délicate floraison.

Ca fleure bon

Toujours aussi spectaculaire au printemps, le cedrela pointe le rose fluo. Grâce aux gelées tardives, on a bénéficié deux fois du phénomène.

Ca fleure bon

Le viburnum plicatum lanarth a ouvert son ombelle blanche.

Ca fleure bon

Progressivement nous réinstallons les hostas en pot. Ce mode de culture leur convient parfaitement, ils acceptent le soleil et ne demandent que peu d'arrosage.

Ca fleure bon

Un petit coup de fun dans le massif avec la percée de la fallopia japonica variegata. Cette variété est beaucoup plus sage que le type et tout aussi résistante. Son feuillage marbré à maturité est d'un bel effet en fond de massif.

Ca fleure bon

Dans le clos rouge et blanc, les arcades d'acers zoeschense annae se dessinent. Les rosiers taillés très fortement émettent des pousses vigoureuses et les bouleaux Jacquemontii se reforment.

Ca fleure bon

Les Cetelem se préparent pour leur campagne.

Ca fleure bon

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 22 Avril 2019

Quand une amie jardinière passionnée de brocante vient rendre visite au jardin, voilà que s'ajoute au décor un authentique cueille fruits que l'on s'est vite empressé de végétaliser avec des boutures de sedums, merci à toi Florence.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Quelques coups de pinceau dans le jardin bleu pour pousser l'art du détail sur les tuteurs des clématites qui ne tarderont pas à hisser le bleu.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Quelques coups de bêche dans le massif du bout de la Lande pour ajouter des phormiums tenax purpureus, en contre-point des berbéris. Restera à implanter des physocarpus Diabolo et Amber Jubilee, le tout sur un tapis d'heuchères Caramel et Purple Palace.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Simple mais efficace, le lamium purpureum ose le précieux dans les lieux les plus ingrats. Petite erreur d'identification brillamment relevée par Maryse, il s'agit du lamium orvala.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Idéales pour des touches champêtres, les scilles ou jacinthes des bois s'accordent avec les jaunes acidulés. Petite erreur d'identification relevée brillamment par Maryse, il s'agit de la jacinthe d'Espagne.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?
Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Depuis plus d'une dizaine d'années, notre hélianthemum Tomato Red s'embrase chaque printemps sur le muret de pierres.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Alors qu'au dessus de lui sur le haut du talus, la spirée thunbergii joue aux neiges éternelles.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Au pied du lavoir c'est l'acer palmatum Peaches and Cream qui déploie majestueusement sa livrée printanière devant un pied de podophyllum et des hostas ébahis.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

En pot depuis quatre ans, l'acer palmatum Sumi nagashi prend son envol.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

La vague de lonicera qui avait souffert de la canicule s'est repigmentée et a reçu sa première taille.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Les températures quasi estivales de ces derniers jours ont boosté la végétation et enflammé le cotinus.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

Le cercis canadensis Hearts of Gold a tout pour plaire, une floraison gracile, un feuillage d'un jaune intense qui ne craint pas le soleil et qui se prolonge jusqu'à la chute des feuilles.

Quoi de neuf de Pâques au jardin ?
Quoi de neuf de Pâques au jardin ?

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 15 Avril 2019

Dans les massifs ça chuchotait fort et de toute part, une agitation bien compréhensible car le jardin accueillait ce jour là Philippe Perdereau, célèbre photographe des jardins. Il en a été de même pour nous quand nous avons appris sa venue il y a quelques jours. Les 24 heures que nous avons passées ensemble nous ont permis de découvrir un homme de talent et d'une grande érudition. Il est aussi quelqu'un de généreux et Mme Duojardin qui se passionne pour la photo a pu profiter des enseignements du maître. Lorsqu'il nous a montré quelques photos qu'il avait fait du jardin nous avons été impressionnés du résultat et peut-être un jour les découvrirez-vous. Pour nous, une belle rencontre humaine et chaleureuse qui nous incite a être encore plus sensibles à l'esthétisme et à la création d'ambiances.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Nos deux cerisiers ont revêtu leur tenue d'apparat pour accompagner les dernières floraisons des narcisses.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Dans l'espace japonisant, les acers étirent tout en délicatesse leurs premières feuilles colorées.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Les topiaires de loniceras et de buis se remettent lentement de la sécheresse automnale. Pour l'instant la pyrale nous a oubliés.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Un passage particulièrement parfumé en ce moment par la présence du viburnum carlcephalum tandis que le rosa chinensis commence sa floraison.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Après les prunus, c'est la floraison des malus qui commencent et toujours aussi luxuriante celle du malus Everest.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Plus discrète au cours de la saison, c'est au printemps qu'elle se révèle, la symphoricarpos chenaultii Brain de soleil.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Explosives au printemps, les heuchères Caramel donnent en ce moment le meilleur d'elles-mêmes.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Après une dizaine d'années passées en pot et la plupart du temps délaissé, notre exachorda The Bride savoure la liberté.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

On les aime les berbéris et comment ne pas succomber sous le duo de choc Admiration et Orange Rocket.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Comment réanimer un coin d'ombre sèche ? Il suffit de récupérer dans son couloir des aspidistras poussiéreuses et délaissées et de les lâcher dans le massif en question. Un petit peu d'arrosage et la luxuriance apparaît soudainement. Nous avons découvert sur un site japonais que les aspidistras pouvaient supporter des gelées jusqu'à moins 10°. Nous avons fait l'expérience à moins 2° et ça fonctionne, elles n'ont pas bronché.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Petit coup de coeur printanier pour l'iris tectorum variegata qui a été long à s'installer mais à la floraison si gracile. Après information donnée par Martine du jardin d'En Galinou, il s'agit en fait de l'iris japonica variegata, on la remercie pour cet éclairage.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Relooking du coin compost, résultat d'un vif débat entre le Duo jardinier, avec la mise en place d'un mur de rondins.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

Enfin l'arrivée d'une création florale qui pour nous symbolise l'amitié d'amis jardiniers. Il nous reste à trouver une belle touffe de carex buchananii ou d'elymus pour la mettre en scène.

La photographie, relais de l'émotion au jardin ?

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 8 Avril 2019

Le berbéris thunbergii Atropurpurea enroulé dans sa cape carminée a retrouvé sa prestance.

Faits et effets du printemps

Le Chaenomeles superba Cameo a ajouté sa petite touche orangée à la palette de la Clairière aux roses.

Faits et effets du printemps

On utilise de plus en plus les couvre-sols et la petite vinca minor aureavariegata est intéressante à plus d'un titre dans les zones ombragées. On apprécie son feuillage lumineux et sa floraison printanière.

Faits et effets du printemps

Dans l'Espace japonisant, les ulmus Jacqueline Hillier se réveillent doucement.

Faits et effets du printemps

Nous n'aurions jamais osé mais nos gentils voisins l'ont fait en nous offrant un cornus florida Cherokee Chief. Il est vrai que le calcaire ne lui est pas favorable mais les années de compostage de feuilles dans ce massif devrait lui rendre la vie plus facile. Nous avons aussi déposé au pied une couche importante de broyat de résineux que nous allons continuer à alimenter. Mais vivons l'instant présent et profitons de sa splendide floraison sur un fond de bruyères.

Faits et effets du printemps

Dans la Clairière d'or les euonymus ont eu droit à leur première taille de mise en forme.

Faits et effets du printemps

Ephémère mais spectaculaire la floraison des amélanchiers est un bel instant printanier.

Faits et effets du printemps

Dans le Clos des graminées il y a eu une forte activité de taille tant pour les miscanthus que pour les rosiers qui ont été régénérés. Le paillis de miscanthus fait toujours son petit effet car il est très lumineux.

Faits et effets du printemps

L'acer palmatum a pris son essor. Il a pour nous la particularité intéressante d'accepter une terre calcaire.

Faits et effets du printemps

Il n'en est pas de même pour ses cousins, l'acer conspicuum Mozart que nous maintenons en pot,

Faits et effets du printemps

ainsi que notre dernière acquisition, un petit acer palmatum Garnet. Il faut parfois un peu de folie car ce n'est pas un facile à vivre.

Faits et effets du printemps

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 1 Avril 2019

Comme une frise en hommage à la venue du printemps, une rangée de narcisses installés à l'automne se déroule le long du chemin.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

On a un petit faible pour les narcisses poeticus actaea. Ils apportent à la fois une pointe de renouveau et du romantisme champêtre.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Ils accompagnent comme une ponctuation les verts acidulés des arbustes. Au niveau supérieur, ce sont les prunus autumnalis rosea qui font leur show coloré.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Tous les végétaux se réveillent et prennent des couleurs. Heuchères, euonymus, abélias, ... pointent de nouvelles pousses tendres.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

La clairière aux pintades s'est offerte sa première tonte et les physocarpus s'embrasent.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Dans chaque massif la couleur se montre et invite à la flânerie.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Tel un étendard printanier, le prunus nous convie jusqu'aux coins reculés du jardin.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Comme un nuage au dessus de la Lande, le prunus subhirtella Fukabana répond encore à la palette des bruyères. Il a très mal vécu la sécheresse et la canicule et encore moins le terrain inondé durant une quinzaine de jours.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Beaucoup plus dynamique et planté l'an dernier, cet autre prunus subhirtella Fukabana est plein de promesses.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Les ribes sanguineum White Icicle après plusieurs années de stagnation, voire de régression semblent enfin s'adapter. Il faut dire qu'on leur a mis une bonne couche de compost en couverture.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Cette fois-ci les gelées n'ont pas eu le loisir de mettre à mal la floraison de la pivoine arbustive Fing Dan Bai et l'on peut de nouveau admirer sa délicatesse.

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

Le poncirus trifoliata nous fera bientôt profiter de son parfum et le travail d'élagage cet hiver va lui permettre de s'épanouir pleinement. 

Ca se réchauffe dans les massifs et les jardiniers s'échauffent

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 12 Mai 2018

Qui aurait pu croire que le printemps allait rattraper son retard de façon si spectaculaire. Mi-mai aulx et digitales sont bien au rendez-vous. En contre-point, petite surprise pour nous, l'origan doré supporte parfaitement notre terre argileuse parfois asphyxiante l'hiver.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Le massif du muret s'anime en boules et en colonnes colorées.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Glycine et gleditzia encadrent la montée du talus.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Le massif du sous-bois se naturalise tranquillement.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Rosa chinensis Mutabilis est l'un des premiers rosiers à fleurir. On aime sa désinvolture et sa propension à grimper avec légèreté dans les grands arbustes.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Dans le massif de la table ronde, le concert de feuillages colorés a pris son tempo et attend l'arrivée des floraisons des clématites.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Un concurrent de rosa chinensis Mutabilis au niveau précocité c'est le rosier Alfred Carrière qui a souvent besoin d'être canalisé sur son support.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Les tables de jardin ont retrouvé leur éclat après un petit coup de peinture et le printemps a fait de même avec le kolkwitzia.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Le nuage violet du cercis hearts of gold s'est transformé en nuage doré.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Le jeune crataegus media Paul's Scarlet encore timide ne manque cependant pas de nous enchanter chaque printemps par sa délicate floraison.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Un petit coin prairial dans la lande où d'étranges fleurs se sont mises à pousser.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Le jardin bleu attend les floraisons des géraniums Rozanne et des clématites.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Encore une petite nouvelle au jardin en la personne de l'indigotier Silk Road, beaucoup plus florifère que le type et dans une tonalité plus soutenue.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Face à la déferlante verte il a fallu agir et ligne électrique oblige, la haie qui borde la route a été rabattue. La solidarité du voisinage a fonctionné, grand merci à vous chers voisins. Tracteur et broyeur XXL n'ont pas chaumé malgré la pluie. Des mètres cubes de broyage en perspective et un travail en moutonnement de la haie à venir.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

Incidence collatérale, l'allée du tsunami s'en est trouvée éclairée.

Dans le printemps, chaque jour est un enchantement

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Publié le 29 Avril 2018

Comme chaque année au printemps, le paon retrouve ses quartiers d'été et veille sur le jardin bleu.

Nouvelles du front printanier

Le héron quant à lui a retrouvé ses compagnons au plumage flamboyant.

Nouvelles du front printanier

Et oui les acers font leur show au printemps. Ici l'acer palmatum Sumi-nagashi.

Nouvelles du front printanier

Comme des halos de lumière, les viburnums ponctuent l'entrée de l'orée. Avec par ordre d'apparition : Popcorn, Mohican, très discret car taillé tardivement, et Shasta.

Nouvelles du front printanier

Comme vous le savez on aime les berbéris et le stenoplylla a ce petit plus aérien qui nous va bien.

Nouvelles du front printanier

Tiarella et heuchera s'harmonisent dans des couleurs chaudes en contraste avec les verts acidulés.

Nouvelles du front printanier

Progressivement les petits sentiers se colorent.

Nouvelles du front printanier

Cet hiver, nous avons créé des percées pour ouvrir le jardin sur son environnement. Outre la perspective, l'intérêt réside aussi dans l'apport de lumière.

Nouvelles du front printanier

Voilà un champion de la couleur printanière, c'est le petit berbéris Admiration qui pousse très lentement et en forme de galet.

Nouvelles du front printanier

Le vieux lierre Erecta s'est refait une coupe printanière et flotte parmi les innombrables euphorbes. 

Nouvelles du front printanier

Les arches des acers Zoeschense annae se sont mises en feuilles si rapidement que l'on n'a pu profiter de leurs magnifiques pousses rouges.

Nouvelles du front printanier

Un peu de tendresse avec ce coeur de lierre entouré de trois picea Glauca conica aux douces aiguilles. 

Nouvelles du front printanier

Encore deux nouveautés au jardin : une magnifique glycine japonaise, la wisteria brachybotrys Kapiteyn Fuji. Merci aux pépinières du Champ Fleury de disposer de ces merveilles. Quinze jours après sa plantation, elle fleurissait ...

Nouvelles du front printanier

Et enfin victimes d'un dommage collatéral des blogs, nous ne pouvions qu'avoir envie de planter un lilas après avoir lu l'article de Maryse du blog Au gré du jardin. Notre choix s'est porté sur le syringa Tinkerbelle à la floraison vaporeuse.

Nouvelles du front printanier

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Publié le 22 Avril 2018

Le printemps est souvent l'occasion de découvrir de belles associations éphémères, comme cette véronica Liwanensis qui s'est amourachée d'un carex Ever Gold.

Apollon lâche les chevaux !

Très, très timide chez nous, l'akébia nous gratifie chaque année de quelques fleurs supplémentaire.

Apollon lâche les chevaux !

Après des débuts difficiles, nous commençons à apprivoiser les épimédiums et on les intègre de plus en plus dans les massifs de lisière.

Apollon lâche les chevaux !

Un petit coin des amis avec ses plantes cadeaux que sont le podophyllum et l'acer palmatum Peaches and Cream d'Hélène de Rouge Cabane et Jean-Luc et Maryse de Au Gré du jardin. Les deux sujets se portent comme un charme.

Apollon lâche les chevaux !

Une nouvelle déco est arrivée au jardin bleu avec trois seaux en zinc remplis d'hostas Blue Cadet.

Apollon lâche les chevaux !

Un petit massif printanier pétillant qui réunit du lysimaque aurea, des euonymus, des carex, des heuchères et des scilles.

Apollon lâche les chevaux !

Un viburnum carlcephalum tricéphale profite de ces journées ensoleillées pour exhaler son parfum capiteux.

Apollon lâche les chevaux !

Le physocarpus Diable d'Or a retrouvé sa livrée cuivrée en contraste avec le viburnum Pop Corn.

Apollon lâche les chevaux !

Au pied du laurier tin taillé en nuage, un berbéris darwini nana a remplacé la boule de buis sauvagement agressée par la pyrale.

Apollon lâche les chevaux !

Le vieux four à chanvre dégagé pendant l'hiver sert maintenant de décor au massif du talus.

Apollon lâche les chevaux !

Un massif que l'on montre peu, le massif du taillis où trônent l'heptacodium et l'acer Davidii et où une petite pervenche violette joue les herbes folles.

Apollon lâche les chevaux !

Le plus vieux berbéris du jardin, adossé au mur de lonicera, illumine l'entrée du colombier.

Apollon lâche les chevaux !

Le malus Everest fait flotter un nuage blanc dans la Lande.

Apollon lâche les chevaux !

Signe d'un printemps retrouvé, le cercis canadensis Hearts of Gold se pare de mauve avant de montrer ses premières feuilles dorées. 

Apollon lâche les chevaux !

Un printemps qui s'est avéré paresseux mais qui aujourd'hui se prend pour l'été. Tout va très, très vite, brouettes et tondeuse aussi.

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Publié le 15 Avril 2018

Un de nos coups de coeur printanier ce sont les sedums. On aime la diversité de leurs formes et de leur couleurs.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

On apprécie leur prédisposition à s'installer dans des petits contenants avec un minimum d'entretien

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

pour participer à des micro-scènes.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Même si le printemps marque de plus en plus sa présence dans le jardin, notre couple d'hirondelles attend encore sa douceur.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Les travaux de plantation se poursuivent dans le talus contre pluie et boue. Nandinas, euonymus, berbéris, ... partent à la conquête de l'espace et se confrontent courageusement aux déferlantes vertes des adventices. Il va falloir venir en appui rapidement, le désherbage dans l'argile collante n'est point chose aisée.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Heureusement que le paillage des vieux massifs jouent son rôle d'inhibiteur d'herbes folles. Il est parfois plus agréable de contempler que de désherber

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

surtout lorsque l'on est en bonne compagnie comme ce samedi où nous avions le plaisir de recevoir Jean-Luc et Maryse du blog Au Gré du jardin.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Il y a très peu de fruitiers dans le jardin mais on en viendrait presque à le regretter lorsque l'on découvre celle du cerisier qui n'a pas à rougir face à certains prunus d'ornement.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Encore un signal printanier fort que celui de la floraison des amélanchiers. Durant quelques jours ils seront dans la lumière et puis s'en retourneront dans leur petite vie discrète.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Rencontres de blancs dans la Lande entre cerisier en fleurs, bouleaux et narcisses.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Avec la venue des nouvelles pousses d'heuchères, les massifs se colorent parmi les nombreuses nuances de verts.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

Et puis il y a ces petits instants féeriques comme le sourire d'une fleur d'elfe avec la floraison de l'épimedium x rubrum.

Il n'y a pas que la pluie au printemps même si ...

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