Soleil et pluie en alternance, voilà un cocktail explosif qui se répand comme une traînée de poudre colorée dans le jardin. Tandis que le kolkwitzia amabilis culmine dans sa floraison
la glycine déjà s'estompe.
Dans la lande, les rosiers commencent à oser la couleur tandis que le cercis hearts of gold a quitté sa livrée mauve pour s'ensoleiller.
La fontaine végétale s'irise face aux nuances pourpres, azurées et dorées des feuillages alentours.
Dans le massif des vélociraptors, les cotoneasters se sont mis à fleurir soulignant les silhouettes.
Les clématites sont de retour et annoncent de beaux épisodes fleuris.
Une nouvelle fois le laburnocytisus adamii nous enchante de ses inflorescences vieux rose.
Pétillant en bordure ce petit géranium qui paraît fragile s'impose par sa floribondité.
Géranium pyrenaicum bill wallis
Rien ne vaut une potée d'iris pour réveiller un paysage.
Notre première tentative de culture en potée d'un Hippeastrum "sonatini" dans le jardin.
Hippeastrum "sonatini" variété Alasca (ayant une résistance au froid comparable aux agapanthes)
Pus spontanée la rencontre dans un massif entre un ail et une ancolie.
Le raphiobotrya coppertone présente un beau contraste entre ses nouvelles feuilles bronze et ses fleurs rosées.
Pour un décor champêtre, la digitale n'a pas son égal.
Un petit conifère que l'on a failli perdre sous les dents des lapins et dont nous cherchons le nom. M. Daoust si vous passez par là, merci pour l'identification.
Picea orientalis aureospicata