Publié le 27 Juillet 2020
Dans la tourmente estivale il est des petits coins privilégiés, ce sont ceux qui sont souvent sous notre regard et ils ont droit à tous nos égards.
Aux abords de la maison il y a toujours quelques potées fleuries et en ce moment ce sont les agapanthes qui mènent la danse.
Ce sont aussi des lieux propices aux micro scènes comme cette rencontre entre une pierre abreuvoir à oiseaux et un rosier sauvageon qui a tendance à s'égarer et dont on a égaré le nom.
Sous les fenêtres on aime que les massifs aient toujours quelque chose à nous dire, en formes et en couleurs.
Il y a longtemps que des gouttes n'étaient pas venues se poser sur les végétaux. Quatre millimètres ce week-end de quoi redonner un peu de peps.
Toujours fidèles, ils reviennent chaque année depuis dix ans mais c'est toujours le même nombre de têtes qui réapparaît.
Petit duo de verveines dans la Lande entre verbena Bonariensis et verbena Venosa, ce sont des tout-terrains de l'été.
Encore un roi de la bronzette c'est le gaura qui affectionne le sec et le soleil.
Quand le jardin commence à s'essouffler sous les coups de chaleur rien de tel qu'une petite coupe pour retrouver le moral.
Les persistants même l'été ont un rôle important quand les caducs sont en souffrance. Ils sont là pour garantir la structure et l'intérêt du massif.
On s'accroche sur le massif de la Faille, non seulement parce qu'il est pentu mais aussi exposé plein sud avec une part importante de jeunes sujets. Le paillage est de rigueur.