Publié le 26 Mars 2017
Notre premier coup de coeur, c'est pour ce sentier bordé de berbéris, bruyères, hellébores avec en fond les prunus en fleurs.
Le deuxième va à la clairière aux roses bordée de narcisses sur une toile vert acidulé d'où se détachent les topiaires de ligustrums.
Le troisième, c'est la rencontre entre la fin de la clairière aux roses et le début de l'espace japonisant, avec une ambiance tout en moutonnement.
Le quatrième, c'est pour le héron de l'espace japonisant qui a retrouvé son éclat sous le soleil.
Le cinquième, c'est le réveil de la clairière d'or et ses moult euonymus au milieu des troncs moussus des érables.
Le sixième nous emmène dans la Lande où rosiers et graminées reconquièrent leurs espaces en compagnie des conifères et des bruyères.
Le septième, c'est une vue rapprochée de nos associations préférées dans la Lande : bruyères, conifères, graminées, rosiers. Une association qui garantit du spectacle douze mois sur douze.
Le huitième c'est pour notre petit bouleau pendula Long Trunk, un des bouleaux pleureur dont l'écorce est la plus blanche, un ravissement permanent.
Le neuvième, c'est pour la coulée de bruyères qui serpente dans le massif, elles sont à leur apogée en ce moment. C'est la variété Darleyensis qui supporte la terre lourde et calcaire.
Le dixième s'achève sur un coup de coeur brisé car notre magnifique rosier Bobby James s'est couché sous les coups de vent de samedi et il a fallu passer par une taille drastique pour redresser la situation, faisant s'envoler les espoirs d'un joli drapé blanc dans l'azur de juin.