Publié le 28 Août 2016
Une fin d'été dont les jardiniers se souviendront sûrement. Thermostat bloqué à 36°-37° durant une semaine après un mois et demi sans pluie, voilà ce qui a permis de découvrir toutes les facettes de l'arrosage malgré un important paillage. Il a fallu faire des priorités, seuls les hydrangéas et les potées goûtent à l'eau. Pour le reste, seuls les premiers signes d'agonie nous font passer à l'action et délivrer le substantifique liquide.
C'est là que l'on s'aperçoit que l'ombrage est salvateur et que les plantes comme les géraniums vivaces, les euonymus, les fatshederas entretiennent d'excellentes relations avec la sécheresse. Et quant au gravier, pas de risque de le voir jaunir, et hop un souci de moins.
On a profité de cette fin d'août pour installer quelques douceurs à l'entrée.
Le duo d'hirondelles a retrouvé des couleurs et des coeurs.
Une nouvelle venue, l'agapanthe Queen Mum trop heureuse de retrouver la chaleur de ses ancêtres sud africains.
Dans le massif de la clairière aux roses, phlox, bidens, physostégia et angélique demandent une certaine attention pour ne pas jouer les bouquets secs.
Dans les clos pas d'arrosage prodigué et les rosiers vivent la situation en toute insouciance
et Burgundy Ice ne s'est jamais autant éclaté.
Les buis se remettent lentement de leur attaque de champignons, merci la chaleur.
Imparable au coeur de l'été, l'association graminées-rosiers a la sobriété du chameau.
Quant à l'élevage d'hirondelles, cela faisait plusieurs annnées qu'il n'avait pas été aussi prolifique, heureuseument on avait prévu large au niveau des fils.
En avant première et pour vous notre nouvelle bannière flotte en haut de page.