Publié le 2 Décembre 2017

Un petit présent pour la sainte Catherine venu de la Bretagne sous la forme d'un nandina dont nous ignorions jusqu'à ce jour l'existence, un nandina domestica Otanfunanten. Google n'est pas bavard à son sujet mais pour l'heure on aime son port pyramidal. 

Prémices du solstice

Le petit chouchou du moment, un jeune thuja occidentalis Sagrada à la silhouette affirmée de bonsaï et déniché aux pépinières du Champ Fleury. Croissante lente assurée et culture en pot appréciée.

Prémices du solstice

Pour accompagner la chute des feuilles, une chute de neige s'est invitée dans le jardin un beau matin.

Prémices du solstice

Malgré les bourrasques de vent glacé, le tilleul fait de la résistance

Prémices du solstice

ainsi que les deux liquidambars styraciflua Golden Sun.

Prémices du solstice

Dans la Lande, le miscanthus Morning Light n'a pas fait d'épillets mais s'est rattrapé par les couleurs de son feuillage automnal.

Prémices du solstice

L'heure des dernières tontes va bientôt sonner et la plupart des feuilles ont rejoint les massifs en couverture

Prémices du solstice

et les euonymus de la clairière d'or rêvent déjà sous la couette.

Prémices du solstice

Mais les nandinas domestica nous rappellent qu'il est temps de sortir les boules et les guirlandes

Prémices du solstice

et mettre le jardin en fête.

Prémices du solstice

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Publié le 19 Novembre 2017

Après les premières gelées, les impatiences de Guinée ont cédé la place aux nandinas Domestica Fire Power dans les potées. On aime leur feuillage persistant et coloré.

La métamorphose est en route

Un petit nouveau et un hôte de choix au jardin des Vigneaux c'est le davidia involucrata Sonoma, appelé plus communément l'arbre aux mouchoirs. Un cadeau de M. Daoust que nous allons chérir et l'on rêve déjà de voir sa merveilleuse floraison. On va tout faire pour qu'il s'adapte à notre terre. 

La métamorphose est en route

Notre coup de coeur pour les euonymus continue à battre et nous en avons encore planté plusieurs variétés qui déclinent des feuillages automnaux variant entre rouge écarlate et rouge lie de vin. Quelques grandiflorus Ruby Wine ont rejoint Red Wine et nous allons tester Phellomanus qui est un cultivar de l'euonymus Alatus.

La métamorphose est en route

Dans les endroits protégés la végétation est bien présente et verdoie encore.

La métamorphose est en route

Petit à petit au rythme des coups de vent les ramures se dessinent et l'on profite des dernières volutes colorées. Les oiseaux ont commencé la cueillette des baies des pyracanthas.

La métamorphose est en route

Les grandes vivaces ont déserté les massifs qui adoptent maintenant une structure hivernale sous un épais tapis de feuilles.

La métamorphose est en route

Sous le frêne tentaculaire de nombreux persistants se réapproprient le terrain

La métamorphose est en route

et rythment l'espace en jouant sur les nuances de vert.

La métamorphose est en route

C'est le moment où le ginkgo allume son phare lumineux dans un dernier éclat.

La métamorphose est en route

Dernier show aussi pour le malus Everest qui mêle fructification écarlate et feuillage doré.

La métamorphose est en route

Dans l'allée des clos, le tableau des couleurs s'estompent doucement

La métamorphose est en route

et dans l'allée du tsunami le tunnel s'éclaircit.

La métamorphose est en route

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 12 Novembre 2017

C'est au jardin de Valérianes que nous l'avions rencontré, il nous avait séduits par son feuillage crispé, son port érigé et sa couleur dorée. Merci à M. Daoust des Pépinières du Champ Fleury de nous avoir trouvé l'ulmus Hollandica Wredei. Il aura au jardin une place de choix car c'est l'arbre de notre premier petit-fils.

Ca sent la Sainte Catherine

Les pluies annoncées ne pouvaient que chatouiller notre envie de planter et nous ne sommes pas repartis seuls avec lui. Comme prémices à la sainte Catherine, nous avons craqué pour le carpinus Orange Retz et l'orangé de sa couleur automnale.

Ca sent la Sainte Catherine

Nous y avons ajouté un petit viburnum plicatum Grandiflorum pour la beauté de son feuillage.

Ca sent la Sainte Catherine

Pour penser aux abeilles, l'abélia Mosanensis Monia au parfum envoûtant de lilas et de jacinthe.

Ca sent la Sainte Catherine

Et puis il fallait aussi penser aux potées d'hiver. Rien de tel que des petits conifères agrémentés de floraisons hivernales comme les pensées ou les primevères. Certains conifères rejoindront au printemps les massifs.

Ca sent la Sainte Catherine

Sans oublier une hebe capable d'affronter les rigueurs hivernales et une hellébore double.

Ca sent la Sainte Catherine

Avec les pluies du week-end, le plantoir a pu de nouveau s'enfoncer pour installer quelques bulbes de narcisses.

Ca sent la Sainte Catherine

Entre deux bourrasques, la scie élagueuse a poursuivi son travail de grignotage de la haie

Ca sent la Sainte Catherine

et entre deux averses, on a profité de l'éclaircie pour capturer quelques scènes automnales. Ici la rencontre d'un cotoneaster et d'un acer palmatum,

Ca sent la Sainte Catherine

là, la variété des feuillages automnaux des hydrangéas.

Ca sent la Sainte Catherine

Du prunus Snow Fountains coule de l'or

Ca sent la Sainte Catherine

tandis que des nuages de feu s'échappent des érables.

Ca sent la Sainte Catherine

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 5 Novembre 2017

Même si cette année en raison de la canicule et de la sécheresse, la palette automnale est moins intense, il ne faut pas pour autant bouder le spectacle car lorsqu'un rayon apparaît la magie opère.

Lâchez les fauves !

Cornus, annabelles, kolkwitzia mêlent leurs tons mordorés pour le décor d'une dernière pause café.

Lâchez les fauves !

Aux torches enflammées des érables, répond la frise cuivrée des épillets des miscanthus.

Lâchez les fauves !

Dernière moment de liberté pour les pintades qui vont prochainement rejoindre leur quartier d'hiver. Au loin le prunus fait son show chaud.

Lâchez les fauves !

Les topiaires de charmille dorent dans le soleil.

Lâchez les fauves !

Et toujours de la fête le nandina, un de nos arbustes fétiches pour sa sobriété et sa permanence.

Lâchez les fauves !

Depuis le temps que le cotinus attendait l'automne pour presque passer inaperçu, c'est chose faite.

Lâchez les fauves !

Profitons de ces derniers moments colorés avec le violet de l'aster Ezo Murasaki dominé par le pourpre des érables.

Lâchez les fauves !

La clématite Président n'a pas voulu manquer le rendez-vous des couleurs et nous a fait une remontée spectaculaire. Il faut dire que nous l'avions sévèrement rabattue lors de la canicule et c'est un procédé que nous renouvellerons car il permet d'avoir un feuillage sain pour la fin de l'été.

Lâchez les fauves !

Pratiquement six mois de floraison sans discontinuer, félicitations aux impatiences de Guinée.

Lâchez les fauves !

Signe peut-être d'angoisse jardinière, les arrosoirs n'arrêtent pas de se multiplier autour de nous.

Lâchez les fauves !

La transhumance des frileuses a commencé, bientôt il va falloir se serrer dans la véranda.

Lâchez les fauves !

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Publié le 30 Octobre 2017

Nous voilà repartis sur les routes de la Creuse en compagnie de Hélène du blog "Rouge Cabane", de Maryse et Jean-Luc du blog "Au gré du jardin" et de Fred du blog "Le jardin du Mayet". En si bonne compagnie et en chemin nous avons vécu de belles aventures. Celle que nous vous contons aujourd'hui s'est passée à Crozant dans les jardins Clos du Préfons.

C'est un personnage haut en couleur et atypique qui nous a accueillis en la personne de Christian Allaert, pétri par la mouvance des concepts du jardin en mouvement de Gilles Clément dont il avait été l'élève.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

"Hâte-toi toujours lentement" telle est la devise inscrite dans la mosaïque qui marque l'entrée du jardin. Le ton est donné car le jardinier des lieux jardine aussi la pensée.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Nous voilà sous le charme, emportés par le discours poétique et philosophique de Christian Allaert dans sa relation à la nature et au jardin.

Un "jardiner" autrement, à l'écoute du végétal dans le respect de son évolution, dans lesquelles les scènes du jardin se composent en complicité avec la nature et à son rythme.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Une démarche qui peut apparaître déroutante pour les amateurs de mixed-borders et de jardins léchés. Ici c'est "le faire avec" qui domine. Le jardin se situant en zone humide, l'eau est prétexte à de nombreuses scènes aquatiques

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

avec un appareillage qui s'est fondu dans son environnement avec le temps.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Chaque fontaine a son histoire, sa quête de pierres taillées trouvées dans les champs alentours.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

On retrouve aussi cette dimension dans le traitement des scènes végétales qu'il nomme "la friche organisée". L'effet produit est saisissant et l'imagination vagabonde jusqu'à des lieux de cultes animistes

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

que le promeneur découvre comme autant de lieux primitifs.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Parfois c'est la nature qui commande et un saule tombé devient prétexte à la création.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Ainsi s'organise le paysage avec un minimum d'intervention. Quelques rejets de saule en topiaire

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

et quelques haies taillées pour imprimer l'acte jardinier

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Comme des repères dans cette ambiance floutée, de beaux appareillages guident nos pas.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Une visite comme un voyage au coeur de l'intime, au coeur d'une démarche singulière, c'est presque bouleversés et avec regret que nous avons quitté cet homme et son jardin. Pour nous ce fut un temps d'enseignement, une rencontre philosophique sur le rapport de l'homme à la nature.

Déroutants, envoûtants, les jardins Clos du Préfons

Un grand merci à vous Christian pour nous avoir fait partager votre richesse.

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Publié le 22 Octobre 2017

Depuis le début de l'automne, le massif des statuaires s'est garni de nouvelles plantations avec des petits lierres venus du jardin de la Mare aux Trembles. En face le talus a accueilli des éclats d'iris tectorum dont l'une des particularités est de conserver un beau feuillage tout au long de l'année.

Feuille d'automne

Toujours dans la cour, les pyracanthas apprivoisés participent à la palette automnale par leur fructification en écho au rougeoiement du cotinus, de l'érable et des cornus.

Feuille d'automne

Plus délicate est la rencontre entre l'aster Lady in Black et la remontée du rosier Astronomia.

Feuille d'automne

Tout en nuance également les fruits bijoux du callicarpa dans l'écrin de son feuillage automnal.

Feuille d'automne

Petit arrêt sur le pic solaire produit par le cercis Hearts of Gold sous le couvert des graminées.

Feuille d'automne

Dans le massif de la Lande, le cedrela au centre attend sagement le printemps pour enfin rivaliser avec le berbéris Rosy Glow et la remontée du rosier Pomponella.

Feuille d'automne

Que serait l'automne sans un tapis de feuilles sous une voûte aux ramures qui s'illuminent doucement.

Feuille d'automne

Les créatures du jardin profitent encore de la douceur des températures avant l'hivernage.

Feuille d'automne

Le gardien de l'espace japonisant prendra lui aussi ses quartiers d'hiver.

Feuille d'automne

De nouveaux venus ont élu domicile dans le roncier.

Feuille d'automne

Et une petite chouette a trouvé refuge auprès de la cahute aux érables.

Feuille d'automne

C'est ainsi que chaque jour le jardin écrit une nouvelle feuille.

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Publié le 15 Octobre 2017

Portés par les rayons du soleil, nous avons atterri dimanche midi dans le jardin de Maryse et Jean-Luc du blog Au gré du jardin.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

La douceur estivale qui régnait n'avait d'égal que l'accueil chaleureux dont nous furent l'objet. Quel plaisir de se retrouver ainsi pour un déjeuner promenade au jardin.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

On l'aime ce jardin qui sent bon l'amour des plantes et qui s'est fait dans les émotions et les coups de coeur. D'ailleurs le petit coup de coeur on l'a eu pour ce rosier rouge au feuillage pétillant.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

A chaque fois on se laisse emporter par la douceur des mises en scène

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

ponctuées de morceaux choisis de décoration.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

Les cheminements nous font traverser des paysages qui nous conduisent vers des ailleurs.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

A la découverte de massifs qui abritent de jolis accords comme celle du callicarpa dont les fruits aiment à flirter avec les pétales des asters.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

ou la remontée d'un rosier dans un nuage d'étoiles.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

De circonstance aujourd'hui a été la rencontre avec le jardin africain aux chaudes tonalités

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

où se développe un majestueux bananier entouré de quelques exotiques.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

Encore un gros coup de coeur pour ce ginko pendula.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

C'est alors que le jardin intimiste s'ouvre sur le paysage au travers d'une pergola contre plantée de divers rosiers lianes.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

Pour finalement épouser le paysage tout entier et offrir au jardinier une halte contemplative.

Un dimanche en Touraine dans l'été indien

Merci les amis pour ce doux moment de partage, de passion et d'amitiés. Aujourd'hui l'automne avait un goût d'été.

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Publié le 8 Octobre 2017

Le jardin entre en automne et déjà les premiers signes de métamorphoses apparaissent, les feuilles s'illuminent et pleuvent au sol.

Automne tonique

Alors est venu le retour des grands chantiers. Le vieux four à chanvre recouvert par les friches depuis de nombreuses années s'est remis à respirer. C'est l'occasion de faire revivre l'histoire du lieu en y ajoutant la nôtre avec quelques futures plantations.

Automne tonique

L'un des titans du jardin a eu droit à un toilettage

Automne tonique

ce qui a permis d'alléger sa ramure et de libérer de la lumière.

Automne tonique

Le bosquet aux roses s'est finalement transformé en massif. Aux conifères que nous avions déjà installés, nous avons ajouté plus d'une cinquantaine de bruyères. Le sol de ce massif n'a pas été labouré mais juste décapé au coupe-fil. Il a ensuite été recouvert d'une épaisse couche de broyat fourni par les tailles automnales.

Automne tonique

Et durant ce temps le jardin continue son petit bonhomme de chemin floral avec ici l'association sedum aster, un duo infatigable.

Automne tonique

Dans la permanence des feuillages du massif de la table ronde, l'aster lateriflorus Coombe Fishacre s'est épanoui.

Automne tonique

Une association qui met des étoiles plein les yeux est celle qui réunit le dahlia Honka red et l'aster Lady in Black.

Automne tonique

Une association de fin d'été par excellence, c'est la sauge Amistad et la verveine de Buenos-Aires. 

Automne tonique

A l'abri du cercis, l'hydrangea Annabelle a conservé ses têtes blanches qui répondent à un face à face avec l'aster Henri Picot

Automne tonique

qui culmine à plus de 2 m !

Automne tonique

Plus timide mais diablement sympathique et pittoresque est le Rostrinucula ou menthe en arbre, qui développe ses épis arqués rose lavande.

Automne tonique

Ainsi le jardin fait ses premiers pas dans l'automne et annonce encore d'autres tailles et d'autres plantations.

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Publié le 30 Septembre 2017

C'est ce week-end que se déroule dans le vieux Mans la dixième édition "Entre cours et jardins". Un rendez-vous automnal bien sympathique dans un cadre magnifique. Le parvis de la cathédrale n'est jamais autant fleuri que ces jours là.

Les végétaux occupent la vieille ville

Et tout cela sous un soleil qui invite à la flânerie.

Les végétaux occupent la vieille ville

Aux pieds des maisons en pan de bois, les étals fleurissent les petites places et les ruelles.

Les végétaux occupent la vieille ville

Aux pavés de rue se sont substitués des pavés végétaux. Diablement sympathiques ces petits sédums.

Les végétaux occupent la vieille ville

Ce fut l'occasion de retrouver notre stand fétiche "Arrosoirs et persil" d'où nous avons rapporté un bébé chouette que nous vous présenterons en situation prochainement.

Les végétaux occupent la vieille ville

C'est toute la vieille ville qui se met en fête végétale avec de jolies mises en scènes.

Les végétaux occupent la vieille ville

Et cette année le thème choisi était "Portes et portails fleuris". En déambulant dans les vieilles rues ce sont une centaine de réalisations que découvraient les promeneurs.

Les végétaux occupent la vieille ville
Les végétaux occupent la vieille ville
Les végétaux occupent la vieille ville
Les végétaux occupent la vieille ville

Une belle façon de démarrer l'automne et d'aborder le temps des plantations.

Les végétaux occupent la vieille ville

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Publié le 16 Septembre 2017

Si le lierre a mauvaise réputation car on le dit invasif et destructeur des murs et des arbres, il est pour nous le symbole des vieux jardins et porteur de romantisme.

On aime le laisser courir sur les murets d'enceinte qu'il recouvre joyeusement par la brillance de son feuillage lustré.

Plaidoyer pour le lierre

Sur les murs des dépendances, on le laisse grimper à mi hauteur. Il est ici en compagnie d'un euonymus, créant un mur végétal permanent et sans grand entretien ...

Plaidoyer pour le lierre

Là on l'a laissé s'installer sur une vieille porte de grange qu'il recouvre sagement. On l'a choisi panaché pour éclairer ce pan de mur situé à l'est.

Plaidoyer pour le lierre

Sur une idée prise au jardin du Prieuré de Vauboin, il s'étire comme une ligne de flottaison sur le grand mur de la grange.

Plaidoyer pour le lierre

Dans les massifs d'ombre, il gambade librement en association aux fougères, cyclamens, euonymus et heuchères pour des effets quasi permanents.

Plaidoyer pour le lierre

Les variétés naines sont adaptées aux petites scènes. Là c'est un cadeau d'Hélène du blog Rouge Cabane, qui accompagne des sédums.

Plaidoyer pour le lierre

Dans les massifs, Hélix Arborescens a une forte présence avec son feuillage vernissé et ses inflorescences qui apparaissent en septembre.

Plaidoyer pour le lierre

Près de la maison il a aussi droit de cité en potée qui resteront lumineuses même au coeur de l'hiver.

Plaidoyer pour le lierre

Ici le lierre d'Irlande a recouvert la cahute du jardinier.

Plaidoyer pour le lierre

Il fut la solution au vide laissé dans le massif par les cyclamens en été.

Plaidoyer pour le lierre

Vous l'aurez compris entre le lierre et nous, c'est une histoire d'amour, le lierre n'est-il pas le symbole de l'attachement ?

Plaidoyer pour le lierre

Dernièrement nous avons visité le jardin de la Mare aux Trembles et nous sommes revenus avec des petits trésors rampants, des lierres au feuillage gaufré, d'autres au feuillage blanc, voire doré.

Plus qu'un plaidoyer, c'est un hommage que nous rendons au lierre pour ses moult usages grâce à ses nombreuses variétés.

Plaidoyer pour le lierre

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Publié dans #Hôtes du jardin

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