printemps

Publié le 10 Mai 2020

Un bouquet de soleil est apparu dans le jardin quand la pivoine Itoh s'est réveillée mais avec la pluie ce ne fut qu'une éclaircie. Si les fleurs sont très éphémères, elles ont une telle générosité qu'on leur pardonne.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Plantée en situation relativement ombrée, notre pivoine 'Coral Sunset' reste modeste mais elle a un don certain pour animer une ambiance de sous-bois dominée par les feuillages.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

La star du moment au jardin c'est le rosier Parfum d'Evita qui nous séduit non seulement par le charme de sa floraison romantique mais aussi par son parfum aux notes de muguet qui se diffuse dans une grande partie du jardin. Et en plus c'est un excellent remontant.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Notre Aesculus Mutabilis 'Induta' fête sa troisième année en ne lésinant pas sur le nombre de chandelles.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Petit méli-mélo de sous-bois entre Aucuba japonica 'Crotonifolia', Stephanandra incisa 'Crispa' ... sans oublier le Saxifraga stolonifera, un cadeau de Blandine du jardin de Berthille. Une vivace qui aime se promener dans l'ombre avec un feuillage attrayant qui se marie bien avec d'autres plantes de sous-bois.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Dans l'espace Japonisant où gîte le Fagus sylvatica 'Mercedes', le tapis de différentes ajugas se densifie entre les cercles de lentilles d'eau.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Le Cornus alternifolia 'Argentea' que l'on a dénommé le Cornus controversa 'Variegata' du pauvre, pauvre étant lié au terrain, s'est trouvé une place de choix. On l'apprécie pour sa capacité à s'adapter à de nombreuses conditions de sols et de situations.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Dans le Bosquet aux roses, un petit Physocarpus bien sympathique c'est l'opulifolius 'Little Devil' à la floraison légère et abondante mise en valeur par le feuillage de son compère 'Diable d'Or'.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Dans le passage Austral, le rosier Lavender Dream apporte sa petite touche de vie en rose.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Dans La Lande tandis que les bruyères s'éteignent les premiers rosiers s'allument.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Sous les bras tentaculaires du frêne, vit un petit monde de floraisons et de feuillages colorés. La cohabitation est intéressante car le frêne a un fort pouvoir drainant qui convient parfaitement aux cistes et aux choisyas.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Dans le massif de La Table Ronde, au foisonnement des feuillages se sont jointes les inflorescences nuageuses des cotinus. Petit clin d'oeil à Florence du blog L'oeil et la main, la petite touffe "jaune énervé" à l'extrême droite à savoir la Santolina rosmarin 'Lemon Fizz' va bientôt fleurir.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

Dans la clairière aux pintades le Cercis canadensis 'Hearts of Gold' a troqué sa parure florale mauve contre un habit de feuillage vert acidulé.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

La Faille est une partie relativement sportive du jardin où il faut à la fois gérer les tailles et poursuivre les plantations pour garnir le talus de marne où la vie n'est pas des plus hospitalières pour les plantes surtout en plein été.

Deux mois en tête à tête, ça se fête

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 3 Mai 2020

Les petits aménagements au jardin vont bon train et notre arche de l'Eternité s'est vu doter d'un seuil en dalles de pierre. C'est une alternative à l'herbe qui ne poussait plus suite au piétinement dans ce passage étroit et qui plus est est à l'ombre. Côté face.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Côté pile.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

L'entrée de la Clairière aux roses est aussi un lieu où l'herbe est trop souvent sollicitée et un dallage de pierres est venue à la rescousse. 

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Jamais deux sans trois, le troisième seuil s'est posé sous le portique du rosier Mme Alfred Carrière et du Trachelospernum jasminoides.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Dans le cour du Colombier, le phormium trône au milieu des potées, des sedums, d'un lierre et des cérinthes qui vagabondent sur le gravier.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Sur le Talus, beaucoup de nos hôtes ont eu droit à une petite coupe rafraîchissante, les jardiniers eux devront encore attendre.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Dans la Lande, les berbéris Berberis thunbergii 'Admiration' et 'Orange Rocket' s'échauffent, et les floraisons printanières s'élèvent avec les hampes des digitales.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Dans la fin de la Lande, un dôme de ciste débute son fleurissement.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Dans les Clos les arches des Acers zoeschense 'Annae' se gonflent et les premières roses se montrent.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Notre chimère, le Laburnocytisus adamii dévoile sa particularité florale en grappes tantôt jaunes, tantôt saumonées.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Quand une ciste rencontre une clématite arabella, le printemps se fait léger.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

Encore une petite touche de douceur printanière avec un vol d'ancolies, quelques roses anciennes et une hampe fleurie de digitale.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

On tente la conduite de la clématite The Président en mode rampant sur des Juniperus chinensis 'Blue Alps'.

On a le temps mais heureusement que l'on a aussi le printemps

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 27 Avril 2020

Parmi les feuillages, le Crataegus media 'Paul's Scarlet' entame sa floraison tonique. Sa pousse est lente mais constante de même que le ravissement qu'il nous procure chaque printemps.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Dans notre sol particulièrement asphyxiant l'hiver, les weigelias ont besoin d'être en situation drainante. Celui-ci sur la crête de la faille s'en sort plutôt bien.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Sous l'arche de l'éternité le Kolkwitzia amabilis 'Pink Cloud' fait écho au Rosa chinensis 'Mutabilis'.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

En bout de haie, la Wisteria sinensis pavane et le Gleditsia triacanthos 'Sunburst' se dore. 

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Le Talus a eu droit à sa première taille printanière. A l'étage du bas, heuchères et heucherellas donnent de la couleur.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

L'hiver doux a fait les cerinthes précoces et florifères. Chez nous le gravier c'est ce qu'elles préfèrent. Bien contents que notre petit Acer palmatum 'Garnet' se soit bien remis de son été cuisant.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Le rosier Mme Alfred Carrière en toute simplicité éclaire un petit monde de feuillage coloré et texturé.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Le printemps comme on l'aime, coloré, flouté, ponctué de formes adoucies vertes et lumineuses avec de l'herbe tendre au pied.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

L'Heucherella Brass Lantern s'est bien adaptée à notre terre, on aurait tendance à en user et à en abuser. On ne peut résister à ses petites fusées blanches qui semblent décoller.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Un petit frileux qui vient de passer son quatrième hiver au jardin, le Pistacia terebinthus dont on aime gratter l'écorce pour son odeur aromatique. Une floraison discrète mais tout en légèreté.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Quelques représentants de notre famille d'hostas qui s'agrandit au fil du temps. Depuis que nous les mettons en pot, nous n'avons jamais eu de mauvaises surprises et ils ont une excellente résistance à la sécheresse.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Depuis quelques temps nous avons un penchant pour les espaces ombrés et leurs plantes vedettes, les fougères. Nous n'oublions pas que nous sommes sur un sol calcaire ce qui limite notre enthousiasme pour certaines variétés. Nous avons cependant craqué pour les Blechnum spicant. Pour l'instant l'adaptation se passe bien, il a fallu beaucoup composter.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Le Gleditsia triacanthos 'Sunburst' nous invite à entrer dans le deuxième jardin dont le passage est marqué par les veines de la terre. Et c'est en visitant le jardin de la Mansonière et en admirant leurs magnifiques ouvrages en fer forgé que l'envie de grilles nous est venue.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Un petit marathon de taille à la cisaille et au sécateur a été organisé dernièrement sur notre haie de trognes qui borde la route. 

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

Notre piste d'envol est actuellement déserte car aucun vol programmé en ce moment, seul le décollage virtuel est autorisé.

Coloré, flouté, sculpté, c'est comme ça qu'on l'aime

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 19 Avril 2020

Dans le massif du levant la vague de lonicera s'est doublée d'une vague d'Erigerons karvinskianus, encore une plante adaptée à la sécheresse.

Le printemps maintient son festival

Sur le Talus le jaune dévale à toute couleur entre Euonymus fortunei 'Emerald Gold', Choisya ternata 'Sundance', Kolkwitzia amabilis 'Maradco' et Gleditsia triacanthos 'Sunburst' pour couronner le tout.

Le printemps maintient son festival

De nouveau le rosier chinensis 'Mutabilis' a profité de la douceur hivernale pour exploser dans le printemps.

Le printemps maintient son festival

Dans le massif de la Grange, le Cotinus coggygria 'Royal Purple' s'empourpre et le Viburnum rhytidophyllum en fond de scène déploie ses larges ombelles au parfum de miel.

Le printemps maintient son festival

Dans la lumière matinale des stars s'éveillent, le Raphiobotrya 'Coppertone' et le Cornus florida 'Cherokee Chief'.

Le printemps maintient son festival

La floraison du Cornus florida 'Cherokee Chief' nous enchante pour la deuxième année consécutive. Nous étions assez dubitatifs sur sa capacité à s'adapter à notre sol lourd et calcaire mais pour l'instant il le fait de bonne grâce.

Le printemps maintient son festival

Petite ambiance sauvageonne et colorée sur fond de vieux mur, un massif sans prétention où vivent en liberté euonymus, carex, fatshedera et jacinthes d'Espagne.

Le printemps maintient son festival

La chambre jaune du jardin pour une petite pause solaire prend appui sur le grand massif fleuri du voisin.

Le printemps maintient son festival

Un petit clin d'oeil à Laurence Marty que nous remercions pour la générosité de ses ajugas reptans qui ont essaimé dans différents coins du jardin.

Le printemps maintient son festival

Naissance comme une danse aérienne que celle du feuillage de l'Aesculus mutabilis 'Induta'.

Le printemps maintient son festival

Premier printemps au jardin pour notre Betula nana 'Golden Treasure', une petite boule lumineuse pour cet espace d'ombre légère dans la Lande.

Le printemps maintient son festival

 Le Cornus alba Ivory Halo 'Bailhalo' installé dans le taillis depuis une dizaine d'années a la bonne idée de nous faire à chaque printemps quelques pousses blanches.

Le printemps maintient son festival

Une révélation pour nous, le Teucrium fruticans 'Azureum' distille sa floraison bleuté depuis plus de deux mois dans un feuillage argenté persistant. Un petit risque quand même pour cette plante d'origine méditerranéenne ce sont les fortes gelées. Il tient jusqu'à moins 10°.

Le printemps maintient son festival

Le rosier Mme Alfred Carrière est un lève tôt et l'un des premiers sur la piste fleurie. C'est aussi lui qui clôturera le bal. Un petit bémol c'est sa fougue exubérante.

Le printemps maintient son festival

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 12 Avril 2020

Les cerisiers sont en fleurs et le grand massif de la Lande se réveille en douceur.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Dans la chaleur printanière le Cercis canadensis 'Hearts of Gold' s'est épanoui en une journée laissant apparaître ses premières petites feuilles dorées. Une photo que l'on dédicacerait bien à Hélène du blog Rouge Cabane.

Chaud devant, ça bouge au jardin

La lumière du matin aime à jouer avec la multitude des boules d'euonymus de la Clairière d'Or.

Chaud devant, ça bouge au jardin

La floraison des viburnums commencent, en version étagée avec le Viburnum plicatum 'Shasta' et en version boule avec le Viburnum plicatum 'Popcorn' en arrière plan.

Chaud devant, ça bouge au jardin

L'arrière du jardin bleu fait la part belle aux heuchères Caramel particulièrement prolifiques et desquelles nous avons retiré une centaine d'éclats pour garnir la Clairière d'Or.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Les Physocarpus opulifolius 'Amber Queen' et 'Diable d'Or' se réveillent parmi les conifères et les rosiers.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Dans le Passage Austral, l'Acer palmatum 'Trompenburg' apporte sa note colorée et distinguée parmi les nandinas et quelques rosiers.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Dans l'écrin d'un Hydrangea anomala subsp. Petiolaris, l'Acer palmatum 'Orange dream' joue les arbres bijoux.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Une petite touche sauvageonne et joyeuse se répand dans la Lisière avec le Géranium pyrenaicum.

Chaud devant, ça bouge au jardin

L'Eriobotrya 'Coopertone', un arbuste persistant qui offre une délicate floraison printanière qui outre son originalité a aussi comme qualité de résister à la sécheresse et au calcaire.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Petit émoi du moment avec la floraison du Deutzia gracilis.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Originale bien que discrète telle est la floraison du Garrya x Thuretii, encore un bon client pour la sécheresse.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Plutôt tonique, le malus 'Coccinella, un cadeau de notre pépiniériste préféré lorsque nous lui avons évoqué nos envies de malus après un séjour jardinier dans le Pas de Calais.

Chaud devant, ça bouge au jardin

Pas de lapins dans le jardin en ce dimanche pascal mais deux poissons gardiens du jardin.

Chaud devant, ça bouge au jardin

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 6 Avril 2020

Sur les marches du perron, les potées profitent du soleil et invitent à mettre un pied dehors.

Plein les yeux et les narines

En automne quelques malus ont rejoint le jardin dont 'Red Sentinel' qui nous offre ses premiers bouquets.

Plein les yeux et les narines

Bien que planté à l'ombre, le poncirus trifoliata n'en oublie pas pour autant de se couvrir d'une floraison délicatement parfumée.

Plein les yeux et les narines

Son jeune cousin, le Poncirus trifoliata 'Flying Dragon' commence à étirer sa ramure tourmentée.

Plein les yeux et les narines

Dans la famille choisya, nous avons découvert le ternata 'Scented Gem' à la floraison blanche avec un soupçon rosé, sans oublier la légèreté de son feuillage persistant.

Plein les yeux et les narines

Toujours aussi fun le débourrement du Koelreuteria paniculata 'Coral Sun' ne manque pas de panache.

Plein les yeux et les narines

A chacun de nos passages, un nuage parfumé s'échappe du Viburnum carlcephalum. Il est pour nous le parfum du printemps.

Plein les yeux et les narines

Petit clin d'oeil à Maryse avec la fougère, Polystichum polyblepharum qui semble avoir bien apprécié l'automne humide. Sur le bord du massif le Lamium maculatum 'Beacon Silver' commence à se répandre.

Plein les yeux et les narines

Petit festival de couleurs et de textures sur le Talus. Les épimediums apprécient fort cet espace d'ombre claire.

Plein les yeux et les narines

Dans l'Espace Japonisant, les jonquilles ont achevé leur floraison, acers et spirées poursuivent le spectacle. 

Plein les yeux et les narines

Malmené par la canicule estivale, le Viburnum tinus se refait heureusement ses têtes.

Plein les yeux et les narines

Un nouvel espace est en train de voir le jour. Le manque d'eau au jardin se faisant sentir, on s'est inventé un massif aquatique. Les plantes aquatiques attendront la fin du confinement pour s'installer dans les bassines, en attendant c'est plantation d'acorus, de fougères, d'équisetums, de sisyrinchiums, d'iris panaché, ... pour une ambiance "marais".

Plein les yeux et les narines

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Rédigé par Duo Jardin

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Publié le 31 Mars 2020

Le printemps assure un accueil chaleureux le long du chemin qui mène à la maison. Plus tard ce seront les rosiers qui prendront le relais.

Douceur et pétillement

Viburnum tinus et narcisses jouent en contraste avec les verts acidulés et les dorés du Cornus sanguinea 'Winter Flame'.

Douceur et pétillement

Sur le Talus, les bruyères ont été rejointes par les heuchères et les heucherellas. Les euonymus se sont réveillés en compagnie des narcisses à la ponctuation aérienne. Au dessus les boules des Kolkwitzia amabilis 'Maradco' et de l'Abelia grandiflora 'Francis Mason' se gonflent.

Douceur et pétillement

Ca pétille tout autour de la spirale tandis que s'élève le panache blanc de l'Amélanchier canadensis. 

Douceur et pétillement

Sur le portique, le rosier Madame Alfred Carrière habillé par le Trachelospermum jasminoides pointe ses premiers boutons.

Douceur et pétillement

Petit clin d'oeil à Maryse du blog Au gré du jardin, nos narcisses "faux Thalia" se sont mis à blanchir. Mais qui sont-ils vraiment ? En tout cas le passage du jaune au blanc fut un beau moment.

Douceur et pétillement

Conséquence d'un hiver clément les mufliers n'ont pas gelé et s'ébattent joyeusement avec les narcisses.

Douceur et pétillement

Douce atmosphère dans La Lande avec le floraison de l'Amélanchier canadensis et des narcisses avant le démarrage des rosiers et des vivaces.

Douceur et pétillement

Le Betula utilis 'Long Trunk' est au diapason avec les floraisons environnantes.

Douceur et pétillement

Le Toona sinensis 'Flamingo' lance ses premières flammèches, le Berbéris thunbergii 'Atropurpurea' s'embrase et le Berbéris darwinii s'émulsionne en orangé.

Douceur et pétillement

La lumière printanière est au rendez-vous et s'accroche à tous les feuillages.

Douceur et pétillement

Dans le jardin on ne chôme pas sauf à certains endroits comme ici dans le Clos des graminées, rien de tel que le miscanthus pour un paillage lumineux.

Douceur et pétillement

Comme un hymne au printemps, les petites orgues végétales se réveillent dans un concert de sédums et autres petites plantes de rocailles. Merci Marie-Thérèse pour tes petites boutures.

Un jour viendra ...

Douceur et pétillement

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Publié le 26 Mars 2020

On l'attendait, il est arrivé le printemps avec son lot de surprises fleuries mais le problème c'est qu'il n'est pas arrivé seul et qu'un vilain virus a plongé le monde dans l'angoisse et la sidération. Confinés et face à nous-mêmes avec nos doutes et nos incertitudes, le jardin n'a jamais été autant un lieu ressources. 

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Le message printanier du renouveau n'a peut-être jamais autant résonné comme un appel à l'espérance.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Bientôt le Viburnum carlcephalum embaumera le sentier et peut-être trouverons-nous à ses effluves des notes encore plus fleuries.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Nous avons travaillé de concert avec notre voisin en misant sur le jaune pour illuminer le paysage.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Le Rosa chinensis Mutabilis ne se sera jamais tu cette année.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Chaque petit coin de jardin s'anime révélant ici ou là une nouvelle floraison et de nouveaux feuillages lustrés.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Les spirées vanhouttei 'Gold Fountain' se couvriront bientôt d'un manteau blanc.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Implantés à l'automne, les narcisses pour leur première floraison ont montré une belle vigueur.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Notre prunus coup de coeur 'Snow Fountains' nous a réjouis plus qu'à l'accoutumé.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Les Ribes sanguineum 'White Icicle' après plusieurs années difficiles, osent enfin s'exprimer.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Petit tableau printanier où se côtoient narcisses, muscaris, épimediums et primevères.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Dans l'espace japonisant un hôte de marque a fait son entrée, le Mukdénia rossii.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

Et l'on se surprend plus encore qu'à l'ordinaire à s'émouvoir à l'éclosion d'une fritillaire.

Il n'y a que le printemps qui ne s'arrête pas

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Publié le 16 Juin 2019

L'été approche et un petit relooking du salon de jardin s'imposait, on a alors misé sur la "dark attitude" à l'instar des lysimaques Firecracker.

Préambule estival

Mais le bleu reste toujours tendance au jardin des Vigneaux.

Préambule estival

Ne trouvant toujours pas le temps pour se poser sur les bancs, on a décidé d'ajouter des motivateurs de pause. La présence de coussins au jardin a d'ailleurs fait débat au sein du Duo.

Préambule estival

Face au rosier Bobby James, la version minimaliste s'est imposée.

Préambule estival

Depuis le temps que le fagus tricolor nous faisait de l'oeil, il est enfin arrivé au jardin et a rejoint un nouveau thème de couleurs au jardin le "pourpre-chocolaté". On ne va pas le laisser monter, suivant les conseils du pépiniériste M. Leclerc, pour profiter de son feuillage vernissé et coloré.

Préambule estival

Avec les dernières pluies la luxuriance est au rendez-vous, de quoi attaquer l'été en pleine forme.

Préambule estival

La spirée magnum explose en rose tandis que les ligustrums ibota musli bouillonnent de blancheur.

Préambule estival

Un petit avant goût de feu d'artifice lorsque les aulx Forelock s'élancent.

Préambule estival

Dans l'ambiance beaucoup plus posée du Taillis, nous avons surpris un vol d'arrosoirs.

Préambule estival

Dans la Lande, le rosier Cumbaya joue les buissons ardents et se couvre entièrement d'une myriade de petites roses simples.

Préambule estival

Dans le Clos rouge et blanc les rosiers osent enfin la couleur.

Préambule estival

Dans le Clos rosiers-graminées, les rosiers sont encore bien timides mais avec la chaleur annoncée le tableau devrait se colorer.

Préambule estival

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Publié le 24 Mai 2019

On va finir par connaître toute la famille, après Philippe Perdereau, nous avons eu le plaisir d'accueillir Brigitte Perdereau. On a retrouvé la même gentillesse, la même passion pour la photographie et le jardin. Beaucoup de photos, beaucoup d'échanges. Sa présence nous a comblés durant 24 heures avec l'envie de jouer encore plus avec les formes, les couleurs et la lumière dans le jardin.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Première floraison pour notre petit hypericum olympicum. Un petit tapissant à la floraison énergisante qui devrait se poursuivre jusqu'à l'automne. On l'a installé en terrain bien drainant pour l'aider à résister l'hiver car au delà de moins 10 degrés, il ne répond plus de rien.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Encore une nouveauté pour nous, les sisyrinchiums, nous les avions découverts au jardin de Valérianes. Nous en avions rêvé et grâce à Florence du blog L'oeil et la main ils sont arrivés dans notre Lande et nous pouvons enfin profiter de leur graphisme.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Ils étaient faits pour s'entendre, la clématite Ernest Markham et le cotinus Grace et nous profitons de leur étreinte empourprée.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Contre toute attente, les cistes qui habituellement n'apprécient pas les sols lourds semblent ici avoir oublié cette condition et prospèrent allègrement dans différents massifs du jardin. A chaque fois c'est un coussin de fleurs en papier crépon qui s'épanouit à la fin du printemps.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Un des arbustes vedettes du moment c'est bien le kolkwitzia à la floraison débordante qui distille son doux parfum.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Autre star printanière, l'aesculus Mutabilis Induta allume ses chandelles. C'est un petit arbuste plein de charme au port gracieux.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Un cadeau arrivé au jardin il y a trois ans et qui commence à développer son port pittoresque. Il représente pour nous l'amitié jardinière.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Dans le massif du Talus, c'est un face à face coloré entre le kolkwitzia Maradco et le rosier Cardinal de Richelieu.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Sur le talus, c'est le gleditzia triacanthos Sunburst qui hausse le ton et tout le monde suit.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Période redoutée pour la taille car les érables tronqués ça pousse énormément et les boules s'ébouriffent vite.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Quand la haie se transforme en un jeu de boules ...

Ca sent les rendez-vous au jardin

Pour redonner de la lumière à la clairière d'or, on a ouvert le rideau d'arbres.

Ca sent les rendez-vous au jardin

Nous avons fait une percée dans l'espace japonisant en créant un espace aquatique minimaliste à partir de cinq conteneurs remplis d'eau et recouverts de lentilles d'eau. On est au moins sûr de ne pas avoir à tailler une végétation débordante ...

Ca sent les rendez-vous au jardin

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